Les pleurs sont un événement normal dans la vie de tous les bébés. Lorsqu’un bébé sort du ventre de sa mère, la première chose à faire est de pleurer. Au premier pleur, il aspire de l’air dans les poumons pour la première fois de sa vie. Après l’accouchement, si le bébé ne pleure pas, il faut le faire en pinçant légèrement ou en caressant doucement les pieds. Il est donc clair que le bébé en bonne santé doit pleurer et que c’est un événement physiologique normal, qui peut parfois perturber la mère ou les membres de la famille.
Nous savons tous qu’un bébé ne peut pas exprimer ses besoins ou ses problèmes avec des mots. La seule façon pour lui de communiquer avec les autres est de pleurer. Les bébés montrent d’autres signes comme les coups de pieds, les signes de la main et les mouvements de la tête, etc.
Les pleurs excessifs peuvent ne pas être définis de manière précise, car les habitudes de pleurs changent d’un bébé à l’autre et certains bébés peuvent être calmés facilement, mais d’autres sont difficiles à calmer. Si les pleurs sont pénibles pour la mère et l’infirmière à domicile, on peut les qualifier d’excessifs. Souvent, le bébé se calme en donnant du lait maternel ou en le portant en le berçant doucement. L’apparition soudaine de pleurs excessifs signifie que le bébé est en détresse et a besoin d’attention. Les causes des pleurs vont de simples raisons à des conditions qui mettent la vie en danger.
La plupart du temps, il est difficile de trouver la cause du cri. Les causes communes sont discutées ici à des fins de sensibilisation.
Bien que les pleurs soient considérés comme normaux, ils peuvent inquiéter les membres de la famille, mais comme les raisons des pleurs vont de simples causes à des causes graves, il ne faut pas les ignorer et la cause exacte doit donc être identifiée et gérée en conséquence.
Voici quelques points à prendre en compte lorsque l’on a affaire à un bébé qui pleure.
Même après toutes ces étapes, le bébé continue de pleurer, voyez les signes suivants.
( La cause probable est donnée après chaque signe)
Si vous observez les signes ci-dessus ou tout autre signe anormal, consultez votre médecin pour un traitement approprié.
Pendant les trois ou quatre semaines qui suivent la naissance, le nourrisson dort plus ou moins, jour et nuit, ne se réveillant que pour satisfaire les exigences de la faim ; à l’expiration de ce délai, cependant, chaque intervalle d’éveil s’allonge, de sorte qu’il dort moins fréquemment, mais plus longtemps à la fois.
Cette disposition à se reposer dans les premières semaines de la vie du nourrisson ne doit pas être entravée ; mais cette période étant écoulée, il faut prendre grand soin d’induire une régularité dans ses heures de sommeil, sinon on en prendra trop dans la journée, et des nuits agitées et perturbées s’ensuivront. L’enfant doit prendre l’habitude de dormir au milieu de la journée, avant son dîner, et pendant environ deux heures, plus ou moins. S’il est mis au repos à un moment ultérieur de la journée, il passera invariablement une mauvaise nuit.
Au début, le nourrisson devrait dormir avec son parent. La basse température de son corps et son faible pouvoir de production de chaleur le rendent nécessaire. S’il arrive toutefois que l’enfant ait des nuits agitées et perturbées, il doit immédiatement être mis au lit et confié aux soins d’une autre personne, qui le ramènera à sa mère à une heure précoce du matin, afin d’être allaité. Cette mesure est nécessaire pour préserver la santé de la mère, qui serait bien sûr rapidement perturbée par des nuits blanches, et le nourrisson souffrirait également de l’influence que cette santé perturbée aurait sur le lait.
Après un mois ou six semaines, l’enfant, s’il est en bonne santé, peut dormir seul dans un berceau ou un lit d’enfant, en veillant à ce qu’il ait suffisamment de vêtements, que la pièce dans laquelle il est placé soit suffisamment chaude, et que la position du lit d’enfant lui-même ne soit pas exposée à des courants d’air froid. Il est essentiellement nécessaire de veiller à ces points, car la faculté de produire de la chaleur, et donc la puissance de maintenir la température, est moindre pendant le sommeil qu’à tout autre moment, et l’exposition au froid est donc particulièrement préjudiciable. Il arrive trop souvent qu’une inflammation d’un organe interne se produise dans de telles circonstances, sans que la véritable source de la maladie ne soit jamais soupçonnée. Il faut cependant se garder ici d’une erreur fréquente, celle de couvrir le nourrisson dans son lit avec trop de vêtements. Le but est de maintenir le nourrisson suffisamment chaud avec de l’air pur ; il doit donc avoir libre accès à sa bouche, et l’atmosphère de toute la pièce doit être maintenue suffisamment chaude pour permettre à l’enfant de la respirer librement.
L’enfant jusqu’à l’âge de deux ans au moins doit dormir sur un lit de plumes, pour les raisons mentionnées ci-dessus. Après le sixième mois, l’oreiller doit être en crin de cheval, car c’est à ce moment-là que commencent les premières dents et il est très important de garder la tête au frais.
Jusqu’à la troisième ou quatrième année, l’enfant doit être autorisé à dormir une heure environ avant son dîner. Après cette période, il peut être progressivement interrompu ; mais il faut se rappeler que, pendant toute la période de l’enfance, il a besoin de plus de sommeil qu’à l’âge adulte. L’enfant doit donc être mis au repos tous les soirs entre sept et huit heures ; et s’il est en bonne santé, il dormira profondément jusqu’au lendemain matin. La régularité du temps de repos est le point essentiel à respecter ; il ne faut rien y faire et ne laisser l’enfant que dormir sans être dérangé, jusqu’à ce qu’il se réveille de lui-même le lendemain matin et qu’il se soit suffisamment reposé.
La quantité de sommeil nécessaire pour préserver la santé varie en fonction de l’état du corps et des habitudes de l’individu. Les nourrissons passent la plus grande partie de leur temps en sommeil. Les enfants dorment douze ou quatorze heures. L’écolier en a généralement dix. Chez les jeunes, un tiers des vingt-quatre heures est passé en sommeil. Alors que, à un âge avancé, beaucoup ne passent pas plus de six heures en sommeil.
Une fois réveillé, il ne devrait pas être autorisé à rester plus longtemps au lit, mais devrait être encouragé à se lever immédiatement. C’est ainsi que l’on peut prendre l’habitude de se lever tôt, ce qui permet d’éviter de nombreux maux graves auxquels les parents ne sont pas suffisamment habitués, de promouvoir la santé mentale et corporelle, et de toutes les habitudes, on dit que c’est celle qui est la plus propice à la longévité.
Un enfant ne doit jamais être réveillé soudainement de son sommeil ; il excite le cerveau, accélère l’action du cœur et, si cela se reproduit souvent, cela peut avoir de graves conséquences. Le passage du sommeil à l’éveil doit toujours être progressif.
Le lit sur lequel l’enfant dort maintenant devrait être un matelas : à cet âge, un lit de plumes est toujours nuisible aux enfants ; car le corps, s’enfonçant profondément dans le lit, est complètement enfoui dans les plumes, et le degré de chaleur non naturelle ainsi produite détend et affaiblit le système, en particulier la peau, et rend l’enfant inhabituellement sensible aux impressions de froid. Ensuite, au lieu de faire le lit le matin dès qu’il est libéré, et alors qu’il est encore saturé par les exhalaisons nocturnes du corps, il bien aérer la pièce. Il est également indispensable de ne pas permettre à l’enfant de dormir avec des personnes en mauvaise santé ou très avancées dans leur vie ; si possible, il doit dormir seul.
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